Nos Efapiens plongés dans les coulisses des 20 ans du Grand Journal

 

Nous avons recueilli les témoignages de Thomas Clavel et Mathys Harscoet, tous deux étudiants en MBA Spécialisé Communication & Production Audiovisuelle, pour mieux comprendre les coulisses de cette aventure et ce qu’ils en retiennent pour leur avenir professionnel.

Comment avez-vous eu l’opportunité de collaborer sur les 20 ans du Grand Journal ?

Thomas Clavel : En 2022, j’ai eu la chance d’effectuer mon stage au sein de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron. C’est à cette occasion que j’ai rencontré Aurélien Ezvan, une personne que je considère aujourd’hui comme mon mentor. Depuis, nous sommes restés en contact, et cela a une grande importance pour moi, car il m’inspire au quotidien dans mon aventure créative. Il sait à quel point j’aime me challenger et donner le meilleur de moi-même en permanence. Je pense qu’il voulait laisser un souvenir unique aux invités de cette soirée événement. Grâce à la campagne présidentielle et à nos discussions, il savait que j’adore la vidéo et incarner des contenus.

Mathys Harscoet : Aurélien Ezvan, ancien rédacteur du Grand Journal, s’est occupé de l’organisation de cette soirée. Ayant été le tuteur de Thomas lors de son stage de deuxième année d’études, ils ont gardé contact et ont retravaillé ensemble sur d’autres projets, dont j’ai pu également prendre part pour certains. Celui-ci en fait partie.

Aurélien me connaissait un peu avant tout cela car j’avais eu l’opportunité de discuter avec lui lors d’une rencontre Alumni organisée lorsque j’étais en 1re année ! Donc quand Thomas m’a présenté, à nouveau, cela a facilité les choses.

Quel était votre rôle lors de cet événement ?

Thomas Clavel : Je tendais mon micro aux invités en leur posant des questions sur leur aventure au Grand Journal pour réaliser une vidéo afterparty. Cette vidéo est d’ailleurs sortie sur le compte Instagram de Michel Denisot. La vidéo finale a fait 330 000 vues sur Instagram.

 

Découvrir la vidéo de l'afterparty :

 

 

 

 

 

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J’ai aussi géré la création de nos t-shirts pour être identifiés facilement lors de la soirée et j’ai mis à disposition mon matériel (caméra/micro) pour la réalisation de la vidéo.

Mathys Harscoet : La plupart du temps en binôme avec Thomas, moi à la caméra, lui au micro pour les interviews, j’ai capté l’intégralité de la soirée, que ce soient les interviews, le discours de Michel Denisot et Aurélien ou divers plans de coupe.

Selon vous, en quoi le réseau de l’EFAP est-il un atout pour des étudiants en communication comme vous ?

Thomas Clavel : Il y a cet esprit chaleureux et solidaire entre les étudiants et Alumni de l’EFAP, qui pousse à la collaboration. C’est pour moi un atout majeur de cette école. Vous faites partie d’une famille de créatifs. Et ça, ça n’a pas de prix.

Quelles compétences acquises à l’EFAP vous ont été particulièrement utiles pour mener à bien cette mission ?

Mathys Harscoet : Je pense que l’EFAP apporte avant tout une culture professionnelle, une culture de la communication, et en cinquième année une culture dans le domaine de spécialisation que l’on a choisi, en l’occurrence la production audiovisuelle pour ma part.

Selon moi, l’apport de cette culture encourage chacun à approfondir de son côté, à être curieux, et ainsi parler une « langue commune » avec les professionnels que l’on rencontre.

Quel a été le moment le plus marquant ou le plus mémorable de cette expérience ?

Thomas Clavel : Je ne peux même pas en choisir un seul. Je tournais la tête et je me retrouvais nez à nez avec une personnalité. Je me souviens de Kavinsky, Justice, Thomas Ngijol, Breakbot, Myd, Izia Higelin. Ce sont des personnes que j’ai vues à la télévision ou sur scène quand j’étais enfant, et ça met une certaine pression.

Il y a quand même quelque chose qui m’a marqué : Doria Tillier a été super sympa et est même venue nous voir pour qu’on l’interviewe avant son départ. Ça a donné une séquence géniale. Je ne parle même pas du moment où il a fallu prendre son courage à deux mains pour aller parler à Michel Denisot. C’est vraiment un moment unique et je m’en souviendrai longtemps.

Mathys Harscoet : Entre le simple fait qu’il y ait autant de gens reconnus du milieu au même endroit, qu’on puisse par exemple discuter avec Doria Tillier, partir avec Élise Chassaing à la chasse aux interviews de ses anciens collègues, ou le fait qu’on nous fasse confiance pour assurer la captation de cette soirée, avec un ami avec qui j’ai vécu tant d’expériences depuis la deuxième année, je dirais que c’est un ensemble d’émotions et de moments qui marquent joliment ma dernière année d’études.

Un dernier mot pour les futurs étudiants de l’EFAP qui rêvent de travailler dans l’audiovisuel ?

Mathys Harscoet : Quand on vous propose une opportunité, une mission, un projet, que ce soit un ancien du Grand Journal ou un étudiant de l’EFAP qui vous demande de l’aide pour son court- métrage... Ne réfléchissez pas et dites oui. C’est le début d’une série d’évènements, c’est de l’expérience et donc des enseignements. Il faut sortir de ce que l’on connait, voire parfois même de ce qui nous intéresse.

 

Cette immersion dans les coulisses des 20 ans du Grand Journal restera sans aucun doute une expérience marquante pour Thomas Clavel et Mathys Harscoet. Au-delà de la richesse des rencontres et des défis relevés, cet événement a été une véritable mise en situation professionnelle, leur permettant d’appliquer concrètement les compétences acquises à l’EFAP.

Grâce au réseau Alumni et à l’esprit de collaboration qui anime l’école, ces jeunes passionnés ont eu l’opportunité de s’impliquer dans un projet d’envergure et de côtoyer des figures emblématiques du journalisme et de l’audiovisuel. Une belle preuve que l’apprentissage ne se limite pas aux salles de classe, mais se forge aussi sur le terrain, au contact des réalités du métier !

Un immense merci à Aurélien Ezvan, dont la confiance et la générosité ont permis à nos étudiants de vivre cette aventure exceptionnelle.